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Avec cette nouvelle année que je souhaite heureuse à tous sans exception, je fais le tri et range un peu mes souvenirs qui commencent à tenir de la place.
Parmi ces souvenirs et après bien sûr quelques escapades de jeunesses en lutte et boxe, il y a eu le karaté, l'école de Bushido du maître Cocâtre et la grande période du Yoseikan Budo (1977-1992), ce n'est quand même pas rien. Surtout que j'avais des relations pour mon évolution avec les plus grands de cette époque, hormis Hiroo Mochizuki senseï, le fondateur de l'école (Bindel, Watanabé, Michaud, Richard), tous sont venus à mon invitation et à plusieurs reprises à Montereau, Mochizuki, Watanabé, et en particulier Jean-Paul Bindel avec qui j'entretenais une relation particulière tant sur le plan technique que personnelle (j'aurais l'occasion d'y revenir).
Je me répète, mais dans mon parcours, il n'y a pas de trou, vous savez des périodes que vous ne pouvez pas expliquer et où vous passez d'un grade à un autre (parfois deux et même plus). Il y a bien sûr des surdoués (ce n'est pas mon cas), il m'a fallu beaucoup de travail personnel, beaucoup de stages et certains cours particuliers mémorables. C'est donc sans difficultés que je me permets d'exposer ce qui suit :

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Bien sûr, ce ne sont pas des grades de hauts niveaux, mais ils ont le mérite d'avoir été présentés devant un jury composé des plus hauts niveaux de cette époque. Et puis il y a eu le stage à la Bourboule en 1986 Mochizuki senseï a validé une partie de mon Sandan (voir sur mon passeport).

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Et puis, il y a eu ce stage en 1985 pour les dix ans de la FFYB à Montbrizon avec Maître Minoru Mochizuki, stage fabuleux avec tous les hauts gradés de l'école, même ceux qui n'ont pas n'étaient pas à la FFYB.

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Un honneur bien sûr d'avoir la signature du Maître Minoru sur ce document.
Alors voilà, pour ceux qui ne se souviennent plus d'où ils viennent, je me dois de faire savoir qu'on vient toujours de quelque part et que l'on ne s'invente pas tout seul. C'est un témoignage de reconnaissance envers ceux qui vous ont fait évoluer et sans qui ce que vous êtes aujourd'hui n'aurait pas la même saveur.

Évidement, à cette époque, on passait beaucoup plus de temps à décortiquer les détails techniques et pas à faire du combat avec protection et matériel en mousse (je ne suis pas contre, mais il y a certaines proportions à conserver).

À l'heure actuelle où il est de mise à démontrer son efficacité, pour ne pas dire sa supériorité à coup de démonstration sauvage (soi-disant pour la rue), encore une fois, je ne suis pas contre, mais je pense qu'on mélange tout. Il n'y a pas besoin de dojo pour cette vision des arts martiaux.

Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus, retour sur cette page :

Historique perso YB

Collector Yoseikan Budo

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DG